Philippe Ep 33 : Un Soir De Debauche
PHILIPPE
EP 33 : UN SOIR DE DEBAUCHE
Pour commencer : A l'intention de mes lecteurs réguliers il faut bien se dire que toute ressemblance avec les deux fols dingues René et Benoît que Philippe rencontre dans cet épisode et les responsables de l'équipe de tournage René et Benoît qu'on rencontre dans l'épisode six de la série David n'est pas du tout mais pas du tout accidentelle
...
Mais c'est vrai ça ! Depuis que je vous dis que je viens d'avoir dix sept ans
Bein je vais en avoir dix huit ! Comme le temps passe ! Ça ne nous rajeuni pas tout ça ! Mais en attendant je reprenais la route de mon école.
A mon âge avancé, j'avais le privilège de pouvoir sortir le week-end. Enfin sortir le soir, je veux dire, et traîner un peu. Boite de nuit et tout ça
Bon je n'y avait droit qu'une seule soirée par semaine mais c'était déjà bien. Il y avait aussi une condition
Il fallait que tout se passe bien ! Celui qui rentre ivre, ou entre deux gendarmes par exemple, serait consigné jusqu'à la fin de l'année scolaire. Et en plus un rapport serait envoyé à ses parents
Bon je me tenais bien. J'avais entendu parler d'une boîte de nuit très cool, tout à fait le genre que mon père aurait fait fermer s'il avait pu.
C'était un endroit douillet, il y avait des banquettes en mousse ou on s'enfonçait et doù quelquefois on avait du mal à ressortir. Surtout si quelqu'un venais s'asseoir sur vous sans vous remarquer.
Ça m'est arrivé !
J'étais tranquillement vautré au fond d'un de ces fauteuil en mousse, deux garçons se sont approché, l'un des deux s'est assis à côté de moi l'autre sur mes genoux.
J'en ai profité pour passer mes bras autour de lui, il était à moitié tourné ver son camarade et a passé un bras derrière ma tête par dessus mon épaule. Ils discutaient. Aucun des deux ne m'avait remarqué, pourtant je suis mignon comme tout moi, et de bonne compagnie.
Je les regardais, ils discutaient sans se préoccuper de moi. Un moment plus tard le garçon qui était à côté est reparti. L'autre à tourné la tête dans ma direction. Il me tenait par le cou, j'avais passé mes bras autour de lui. On était donc dans les bras l'un de l'autre.
Lui : Salut !
Moi : Salut.
Il était mignon, un peu plus vieux que moi mais à peine, il avait une bonne tête. Il était mince et musclé. Ça je le savais parce que je le tenais dans mes bras.
Lui : Ça fait longtemps que tu es là ?
Moi : J'étais là juste avant que tu n'arrives.
Lui : Je ne t'avais pas vu venir.
Moi : Tu ne m'as pas vu non plus quand tu t'es assis sur mes genoux.
Il me donnait un baiser sur la bouche.
Lui : Je me suis assis sur tes genoux ?
Je faisais oui d'un mouvement de la tête. Il me donnait un nouveau baiser.
Lui : Oui mais je ne t'avais pas vu venir, tu es du genre discret toi !
Il était ivre !
Lui : Moi c'est René, je suis un artiste.
Moi : Philippe, je suis étudiant.
C'est tout naturellement qu'il glissait sa main sous ma chemise.
René : C'est mignon tout ça dis donc.
Je glissais ma main entre ses cuisses et la remontait jusqu'à son sexe. Il m'a semblé qu'il écartait doucement les jambes, comme pour m'aider.
René : Tu m'as pas l'air trop farouche toi !
On s'embrassait de nouveau mais plus passionnément.
Moi : Tu es artiste ? Et tu fais quoi ? De la peinture ?
Il faisait non de la tête et de nouveau m'embrassait avec beaucoup de sensualité. Il se laissait alors glisser à coté de moi, comme il était de travers, ses jambes se retrouvaient sur mes genoux. Je lui caressais l'entre jambe, il me caressait la main.
Il me tirait vers lui et je me retrouvais allongé sur lui, il avait refermé ses bras sur moi, nos chemises étaient ouvertes et sa peau était douce, chaude et douce.
René se redressait doucement, je suivais le mouvement. Il prenait un verre et me le tendais puis se réservais l'autre.
Son copain : Bon je retourne me chercher un autre verre moi, pour moi ! ( hips )
C'était de l'alcool. J'ai hésité un moment avant de
Vider le verre d'un trait !
René me regardait l'air amusé, il vidait son verre également, me tirait vers lui et me caressait en m'embrassant avec beaucoup de science.
Puis il se relevait.
René : Il faut que j'y aille moi. Tu viens avec moi ?
J'avais envie de le voir de plus près ce loustic. Il m'avait l'air bien allumé, bien chaud je décidais de le suivre. On sortait, j'avais mon casque moto dans la main et comme il n'était pas en état de prendre sa voiture il est monté derrière moi, j'ai toujours un casque de secours.
On arrivait chez lui un peu plus tard. Il habitait dans un loft au dernier étage d'un ancien bâtiment industriel. C'était grand, il n'y avait qu'une seule salle mais c'était vraiment grand. La décoration se limitait surtout à un grand désordre. Des vêtements traînaient un peu partout, les livres, sur une étagère une véritable collection d'appareils photo argentiques plus ou moins anciens. Quelques vieilles caméras trônaient dans un coin entourés de quelques appareils de projections et de projecteurs. Un mur au fond était totalement dégagé et peint en blanc. Il y avait comme une sorte de scène devant. Des tentures suspendues partageaient les différents espaces.
Plus loin il y avait des photos. Des photos de danseurs, de danseurs très légèrement vêtus sur scène, de danseurs nus toujours sur scène
Moi : Tu es artiste danseur ?
Il faisait non de la tête. Il retirait ses vêtements sans rien dire, il gardait un petit sourire et un regard coquin. Il se retrouvait entièrement nu devant moi.
René : Alors comment tu trouves la bête ?
Je m'étais assis sur un lit, et lui répondait par un sourire. Il me sautait dessus. En rigolant j'ouvrais les bras en grand pour le recevoir.
Il me prenait dans ses bras et me couvrait de baisers. J'en faisais de même, un à un mes vêtements volaient à l'autre côté de la salle, on était nus, on riait, on faisait les fous, et nos caresses n'en finissait pas sous la couette.
René : Tu veux m'enculer ?
Il n'avais pas l'air bien compliqué ce garçon. Je faisais oui de la tête. Il se retournait sur le ventre et écartait les cuisses. Les bras repliés et la tête sur les bras il commençait à gémir de plaisir, je ne l'avais pas encore touché.
Je vous jure que là on ne se prenait pas la tête. Je m'allongeais sur son dos, me frottais contre lui, ma peau appréciais la douceur de sa peau. Je lui mordillais doucement les épaules, lui caressais les bras qu'il écartait avant de lui caresser le torse, puis de descendre vers ses fesses.
Je me relevais et le chevauchais, mes mains parcouraient son corps avec force et douceur. Les petits gémissements qu'il poussait m'indiquaient que j'étais sur la bonne voie, que ce que je faisais lui plaisais.
Une caresse, un baiser puis une autre caresse et encore un baiser
J'arrivais rapidement à ses reins et mes doigts se glissaient entre ses fesses, il écartait les jambes, un doigt glissait un peu plus profond, il poussait un gémissement plus fort. Il avait tourné la tête et je le voyais de profil, il arborait un grand sourire jovial tout en continuant à gémir doucement
Je m'asseyais sur ses fesses et continuais à lui caresser le dos, par moment mon visage se penchait sur le sien et j'y déposais un baiser. À cet instant son sourire devenait plus large.
Je me déplaçais un peu et me retrouvais à genoux entre ses cuisses qu'il écartait largement.
Il gémissait de plaisir, il ne tentais pas de se dégager. Un deuxième doigt suivait. Là j'ai cru que rené allait se relever, il a bougé les bras, les as repliés sous lui. Il a doucement poussé comme pour relever son torse puis s'est laissé retombé, suivait alors un long gémissement .
Je glissais mon autre mains sous lui, sous ses couilles, je les massais en même temps que je lui massais le cul. Là j'ai cru qu'il ronflait, qu'il s'était endormi. J'ai un peu tambouriné deux doigts sur sa prostate et les gémissements sont revenus. Il s'était peut être endormi finalement !
Je lui massais les couilles et prenait dans ma main sa queue, il bandait ferme. Par moment il contractait ses cuisses, comme s'il voulait soulever son bassin mais c'était sans résultats. Seuls ses gémissements devenaient plus bruyants.
Je lui lubrifiais longuement le cul et sans trop m'occuper de ce qu'il en pensait. C'est vrais que c'est lui qui m'avait parler le l'enculer en premier. Je plaçais ma queue en position et je la lui enfonçais au fur et à mesure que je m'allongeais sur son dos.
Au moment ou mon visage se posais sur son épaule, je donnais un dernier coup de bassin, ma queue était complètement enfoncée dans son cul, il poussait un long, très long gémissement
'' Oh oui, c'est bon '' .
Je m'accrochais alors à ses épaules, me retirais et revenais avec un peu plus de force bien à fond. J'appuyais bien mon bassin contre ses fesses et recommençais. Il semblait pousser avec ses bras, comme pour se cambrer, pour se relever mais c'était toujours sans résultats.
Je continuais mes mouvements avec plus de force, et plus vite. À chaque fois que mon ventre s'écrasait contre ses fesses il soupirait fort dans un râle de plaisir. Je me lâchais.
Mes mouvements devenaient rapides et violents, il râlait des '' Oui, encore '' , ou des , '' C'est bon vas y '' , ou encore des , '' Défonce moi le cul ''
Il aimait ça encore plus que moi le lascar. Je ne me retenais plus, mon ventre claquait contre ses fesses et il criait puis un peu plus tard quand mon ventre claquait contre ses fesses on criait tous les deux.
Je le sentais trembler, j'ai cru que j'allais jouir à ce moment. Je me suis laissé tombé sur lui la queue bien enfoncée dans son cul, je poussais de tout mon poids contre ses fesses et ne bougeais plus.
De nouveau j'ai cru qu'il s'était endormi, mais au premier mouvement de ma part je l'ai entendu gémir. Je me suis retiré, il a râlé. Je l'ai retourné sur le dos, il a râlé de nouveau mais n'a pas résisté. Je lui ai relevé les cuisses pour déposer ses chevilles sur mes épaules ( là je vois qu'il y en a qui connaissent déjà la position ), je me suis appuyé sur lui repliant ainsi ses jambes contre son torse, et je l'ai enculé
Le mouvement était rapide, violent. Il a ouvert les yeux et m'a regardé droit dans les yeux. Il ouvrait la bouche et je sentais son souffle rapide et fort, il râlait à chaque fois que mon bassin s'écrasait contre son cul. Il réagissait bien surtout que je ne le ménageais pas, j'y allais de toutes mes forces, le plus vite possible, je n'hésitais pas à lubrifier autant que nécessaire et j'appuyais de tout mon poids.
En même temps je le masturbais, il avait une grosse molle mais c'était trop cool de la tripoter. Son souffle devenait irrégulier, je le branlais avec encore plus de force et sans prévenir il jutait. Il jouissait bruyamment et il jutait abondamment. J'avais la tête en feu et je jouissais à mon tour, je jutais dans son cul avant de me laisser tomber sur lui.
On était en sueur. On ne bougeait plus.
Brusquement René se relevais en me renversant sur le lit. Il relevait mes jambes et me donnait une claque sur la fesse. Il m'a fait mal le con, je vous jure, je suis sûr que ma fesses devait être toute rouge.
René : Lève toi limace tu as assez dormi, tu auras le temps de dormir quand tu seras mort mais en attendant debout.
Je m'étais endormi, je regardais le réveil juste à côté du lit, il indiquait toujours la même heure. Il m'avait laissé dormir pendant presque trente secondes
On passait sous la douche ou on partageait encore un petit moment de douceur, un petit câlin quoi ! Il avait la pêche d'un coup, on aurait dit qu'il venait de récupérer après une bonne sieste. Moi je commençais à fatiguer, surtout que la nuit avançait, elle avançait même tellement qu'elle allait se terminer, on était maintenant très tôt le matin.
René : Viens par là toi, j'ai encore un truc là
Il était à l'autre bout du loft, derrière des tentures. J'allais voir ce qui se passait. Deux projecteurs puissants s'allumaient, j'avais le temps de mettre ma main devant mes yeux pour me protéger de l'éblouissement, sans me demander mon avis il me photographiais sous tous les angles. J'ai vu les photos, on ne me reconnais pas vraiment et je préfère
On ne sais jamais avec ma famille
Le garçon que nous avions laissé dans la boite de nuit entrait en hurlant !
Benoît : René tu es un enfoiré ! Je ne t'aime plus !
Hips
Demain je te quitte
Hips
Tu m'as laissé tombé, je t'ai cherché partout moi, t'étais ou ? Dis ! Ou t'été ?
Il me regardais
Benoît : Toi
Hips
T'es pas René toi ?
Moi : Bein non moi c'est Philippe !
Benoît : Bon alors toi Phiiiiilpp, si tu vois René tu pourras
Hips
lui dire que
que
que
Hips
Philippe
Moi : Vas y je t'écoute, je vais faire le tri !
Benoît : T'es qui toi ?
Moi : Philippe, bein tu en tiens une couche là dis donc !
Benoît : Oué Philippe, bon, vue que
Hips
René il est pas là
Si tu le vois tu pourras
Hips
Lui dire que
Hips
Entre nous c'est fini !
Moi : C'est d'accord, mais il ne doit pas être bien loin, il était là tout de suite.
Benoît : Dis moi Phii... t'es avec quelqu'un là toi parce que moi je suis célibataire moi maintenant ? Bon j'vais m'coucher !
René réapparaissait.
René : Ah te voilà toi Benoît !
Benoît : René tu sais pas comment tu
Hips
m'as manqué
Hips ... Ohhh René je t'aime moi René.
Je préférais les laisser à leur joyeuse réconciliation de leur si courte et si soudaine rupture. Ils étaient en train de se faire un gros câlin au moment ou je sortais.
On n'avait pas vraiment d'heure pour rentrer à l'interna, il ne fallait pas trop r mais si on était clean, la direction de l'école restait cool. Je n'avais bu qu'un verre d'alcool en début de soirée, j'avais donc les idées claires. Ça se passait bien même s'il était vraiment très tard.
Je passais prendre mon petit déjeuner avant d'aller à ma chambre ou je dormais pendant le reste de la matinée.
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter
@CharlyChast
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